La plus-value immobilière est un terme qui désigne la différence entre le prix de vente d’un bien immobilier et son prix d’achat.
La plus-value immobilière est calculée en fonction du prix de vente et du prix d’achat, mais aussi des travaux réalisés sur le bien. Pour une vente de terrain, il faut donc connaître le montant des travaux réalisés pour pouvoir calculer la plus-value immobilière. Nous allons voir çà de plus près.
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Les conséquences fiscales liées à la plus-value immobilière
Vous devez savoir qu’il existe un grand nombre de règles fiscales et juridiques à considérer lorsque vous achetez ou vendez des biens immobiliers. Ces règles sont complexes, mais les plus importantes sont : le régime d’imposition des plus-values immobilières est différent selon que la vente concerne un bien immobilier ou un autre type de bien.
Il existe également différents régimes en matière d’impôt sur le revenu (pour les particuliers) et d’impôt sur les sociétés (pour les entreprises).
Le montant des plus-values immobilières imposables dépend du prix de vente, du lieu, du nombre et de la durée de détention des biens immobiliers concernés. Cette taxe est prélevée par l’État au taux normal de 19 %. En cas d’exonération totale ou partielle, vous pouvez opter pour une imposition au barème progressif qui est moins favorable que le prélèvement forfaitaire libératoire.
Quelles sont les différentes méthodes de calcul de la plus-value immobilière
Les calculs de la plus-value immobilière peuvent se faire soit sur le prix d’achat, soit sur la valeur actuelle du bien. Pour déterminer la plus-value ou moins-value à partir du prix d’achat, on applique un taux de marché à ce prix. Pour les biens anciens et nouvellement construits, le taux de marché est déterminé par l’indice INSEE du coût de la construction (ICC) des logements existants. Ce taux est mise à jour chaque trimestre par le ministère chargé du logement.
Il sert notamment pour calculer les droits de mutation en cas de vente d’un bien immobilier.
Les droits de mutation sont perçus par l’État et reversés aux collectivités territoriales au moment d’une transaction immobilière. Pour les biens récents, c’est le prix au m2 qui sert comme base pour calculer la plus-value à partir duquel on applique un coefficient multiplicateur entre 5 et 10 % selon l’emplacement géographique et l’état général du bien immobilier concerné. Cependant, il faut savoir que cette méthode ne prend pas en compte certains éléments importants : Les travaux effectués depuis l’acquisition ; L’augmentation des charges liée à votre nouveau statut ; La situation locative et financière (fiscalité) ; Le revenu cadastral ; Le terrain…
Comment éviter les erreurs de calcul de la plus-value immobilière
Pour calculer la plus-value immobilière, il faut tenir compte de différents critères : le prix d’achat du bien, les travaux de rénovation réalisés et la durée pendant laquelle le bien a été loué.
Il est important de savoir que les plus-values sont imposables à l’impôt sur le revenu selon un barème progressif. Cependant, certaines exonérations peuvent être accordées en fonction des cas particuliers. Par ailleurs, pour déterminer si une opération est éligible à l’exonération ou non, il convient de considérer le montant du prix d’achat et celui des travaux réalisés ainsi que la durée pendant laquelle le bien immobilier a été loué. Si vous souhaitez vendre votre appartement par exemple, cela n’est pas forcément éligible à l’exonération. En effet, si vous ne vendez pas votre appartement avant 5 ans après son acquisition, son prix sera élevée comparativement aux autres biens similaires sur le marché et donc susceptible d’être taxable.
Lorsque vous achetez un logement pour revendre ensuite rapidement après quelques années (moins de 5 ans), vous êtes censés connaître parfaitement toutes les caractéristiques techniques concernant ce logement (surface habitable nette ou habitable pondérée).
Vous devez aussi tenir compte du type d’acquisition (dans une copropriété ou non) et du lieu générale (zone tendue ou non).
Les avantages et les inconvénients de la plus-value immobilière
La plus-value immobilière est un avantage qui permet de faire une plus-value lors de la revente d’un bien immobilier. Cependant, la plus-value immobilière n’est pas sans inconvénient. En effet, si vous revendez votre bien dans les 5 ans suivant son acquisition, il y a fort à parier que vous allez devoir payer des impôts sur cette plus-value.
La bonne nouvelle est que vous pourrez également déduire les frais liés à l’acquisition du bien (frais notariés et commissions versées aux intermédiaires). Ces frais sont considérés comme des charges déductibles et elles peuvent donc être réduites de la plus-value immobilière.
La moins bonne nouvelle est qu’il faudra attendre 30 ans pour pouvoir vendre le bien sans devoir payer d’impôt sur la plus value ! Les différents avantages et inconvénients de la plus value immobilière sont :
- Lorsque l’on procède à une vente immobilière, il y a généralement un gain financier appelée «plus-value». Cette dernière correspond au montant entre le prix auquel on a acheté le bien et celui auquel on souhaite le vendre.
- Une fois qu’on a acquis un logement et qu’on souhaite ensuite revendre son bien immobilier pour en tirer un profit, on constate que certaines dispositions fiscales existent afin de faciliter cette transaction.
- Cela permet donc aux personnes ayant acquis un logement et qui en possède toujours les moyens financiers de garder ce même logement afin de continuer à en profiter après sa vente.
Quels sont les critères à prendre en compte pour déterminer la plus-value immobilière
La plus-value immobilière est une différence entre le prix de vente d’un bien immobilier et son prix d’achat.
Le vendeur peut réaliser une plus-value s’il parvient à vendre son bien plus cher que lorsqu’il l’a acheté. Cette différence s’appelle la plus-value immobilière.
La valeur du bien, tout comme le prix auquel il a été vendu, dépendent de nombreux critères, dont les principaux sont :
- Le type de bien immobilier
- La situation géographique (ville ou campagne)
- L’état du marché
- La rareté du logement
- Les travaux réalisés sur celui-ci (plus-values moyennes)
La plus-value immobilière est calculée sur la différence entre le prix de vente d’un bien immobilier et son prix d’achat (prix de revient). Elle est imposable au même taux que les revenus fonciers, soit un taux de 19 % (taux marginal d’imposition) + 15,50 % de prélèvements sociaux.